Une conférence étalée sur 3 jours s’est tenue à Rome, rassemblant des sommités mondiales de la médecine, provenant de nombreux pays, pour parler des traitements du Covid-19 (www.internationalcovidsummit.com). Elle était organisée par l’association ippocrateOrg dont le président est Mauro Rango.
Ceci est un bref résumé des propos tenus par Mauro Rango à l’issue de cette conférence.
« C’est la première fois qu’un tel rassemblement d’associations (comme ippocrateOrg) de médecins a lieu au niveau mondial. Il s’est déroulé notamment au Sénat de Rome, afin que les médecins puissen présenter leur expérience en matière de traitement à domicile du Covid. C’était donc centré sur les médicaments utilisés précocement pour traiter le Covid.
Ce qui a été rapporté par la presse a été de crier au crime de lèse-majesté : mais comment vous permettez-vous de dire, dans l’enceinte du Sénat, quelque chose de différent de la narrative officielle ? "Or, raconte Mauro Rango, nous avons fourni 64 études scientifiques en faveur de l’ivermectine comme médicament contre le Covid, et il n’existe aucune étude contre l’ivermectine, c’est-à-dire qui démontre que l’ivermectine ne fonctionne pas contre le Covid. A la télé, ou dans la presse, ils nous ont attaqué sans avoir aucune preuve scientifique. Ils ont dit que c’était un médicament utilisé pour les chevaux, mais concernant l’activité antivirale, et donc anti-covid de l’ivermectine, ils n’ont fourni aucune étude."
"Le problème n’est évidemment pas d’avoir 64 études à zéro, mais bien qu’il existe un mot d’ordre général dans les médias, de ne PAS parler des traitements précoces, seulement du vaccin. On avait déjà vu ça avant même que ne sortent les vaccins. On ne pouvait pas parler d’hydroxychloroquine, de traitement à domicile, et pourtant des personnes mouraient déjà. Et pourtant, il n’y avait pas encore de vaccin. Le mot d’ordre était déjà là."
"Nous avons soigné des ténors du journalisme, ou leurs collaborateurs, qui sont repartis guéris, mais quand nous leur avons demandé s’ils pouvaient nous aider, la réponse a été que le mot ordre était différent"
[Commentaire du journaliste] "oui, il n’y a que [le célèbre Journaliste] Mario Giordano qui s’y essaye avec beaucoup de courage, dans con émission hebdomadaire « Fuori dal coro ». Voyons combien de temps il tient, à tenir un discours pro-ivermectine et soins précoces, avant que ne tombe la sanction et qu’il ne soit renvoyé cultiver les choux chez lui."
"Pour revenir sur le contenu de cette conférence, poursuit M. Rango :
– La première journée était consacrée à des échanges entre médecins et chercheurs, à laquelle je n’ai pas participé, n’étant pas moi-même médecin, mais où chacun a pu comparer ses expériences et ses études scientifiques, non seulement à propos des soins précoces, mais aussi concernant les « Covid longs » et les effets du Covid, et même, pour 3 ou 4 spécialistes dans le monde (dont le nôtre) sur comment traiter les effets secondaires post-vaccins. Pas pour les myocardites, qui sont complexes à traiter, mais pour tous les autres effets secondaires, qui sont beaucoup plus nombreux que ceux qui nous sont signalés par les agences de presse. Nous sommes en train de chercher des traitements pour toutes ces personnes qui s’en remettent à nous et qui sont si nombreuses, plus de 300 patients se sont adressés à nous, avec des effets secondaires plus ou moins graves.
– La deuxième journée fut celle plus « formelle », « officielle » dans l’enceinte du Sénat, et a été dédiée aux traitements du Covid, qui existent depuis 2 ans, depuis le début de l’épidémie.
– La troisième journée était ouverte au public, et a permis d’apporter un peu de reconnaissance et de satisfactions aux médecins qui ont tellement combattu depuis 2 ans, souvent en solitaires, dans différentes parties du monde.
Les journalistes de la presse « main-stream » ont tous été invités. Les journalistes de la RAI (télévision publique italienne) ont décliné, disant que le mot d’ordre était différent. Quelqu’un de l’émission de mardi sur La7 est venu faire une longue interview de moi. Il en est ressorti un tout petit extrait diffusé hier soir, absolument pas représentatif de l’interview, avec des propos recomposés, coupés et servant seulement à railler le fait que j’organisais cela sans être moi-même médecin. Comme s’il fallait savoir construire un moteur pour être le patron de Fiat, par exemple. Ca ne leur pose pas de problème que notre ministre de la santé ne soit pas médecin [NdT : en Italie, ce n’est pas comme en France, leur ministre de la Santé n’est pas médecin, pas comme Véran, ils n’ont pas cette chance 😉]. IlFattoQuotidiano est venu et a fait un article terrible contre nous, auquel nous ne nous attendions absolument pas. Mais désormais, comme tous les autres quotidiens italiens, ils ne sont pas intéressés par la recherche de la vérité, par la réalité du terrain. Le journal Il Corriere della Sera a lui aussi écrit un article à charge, tandis que La verità de Belpietro a reporté fidèlement ce qui s’est passé. Mais tous les autres quotidiens nous ont fait apparaitre comme des espèces de sorciers venus des quatre coins du monde, alors que par exemple, l’un des médecins présents dans la salle était Robert Mallone, inventeur de la technologie ARN messager. C’est lui qui l’a découverte, sans lui, les labos n’auraient pas pu faire les « vaccins » utilisés aujourd’hui contre le Covid. D’ailleurs, tout comme l’ivermectine, cette technologie était destinée au traitement d’autres pathologies, comme le cancer. Et il se dissocie de l’utilisation actuelle qui en est faite, avec les vaccins anti-covid. Voilà le calibre des gens présents dans la salle. Trop facile de parler de « sorciers »…
Mme Capo, célèbre journaliste italienne de le TV, a dit : « N’utilisez pas l’ivermectine, c’est un vermifuge pour chevaux, à moins que vous n’ayez des vers longs de plus de 20 cm, ça peut même être dangereux. » Ces propos montrent une ignorance monstrueuse, prononcés par une personne qui ne se documente absolument pas. Par exemple, les deux scientifiques qui ont découvert les propriétés antivirales de l’ivermectine sont italiens, du CNR de Milan, en 2014 et ont reçu de prestigieux prix internationaux pour cela. Et celui qui a découvert ses propriétés antiparasitaires a reçu ensuite le Prix Nobel. Si seulement cette journaliste pouvait s’informer sur ces faits avant de parler.
La direction a été donnée par le New York Times voilà quelques jours, qui titrait : « Ne prenez pas le médicament pour les chevaux ». Une fois parti ce slogan tous l’ont adopté, et on le retrouve maintenant à toutes les sauces. C’est devenu la solution de facilité qui permet de se débarrasser facilement du sujet, du travail de milliers de médecins partout dans le monde depuis 2 ans, et pour certains journalistes, de ce sentiment de culpabilité pour avoir laissé mourir des centaines de milliers de morts en renonçant à leur profession, qui est et reste un métier d’enquête, laquelle n’a jamais été faite, contrairement à toutes les enquêtes sur la mafia, le crime organisé, les milieux politiques, etc. ce qui nous donne une idée de la puissance des grands labos pharmaceutiques.
En conclusion, nous grossissons rapidement et cela nous donne beaucoup de force. Il y a eu plus de 130 millions de connexions sur le site de l’International Covid Summit. C’est important. Ce n’est pas 1 milliard mais c’est significatif. Cela montre que les gens commencent à se poser des questions, et nous le voyons bien, toujours plus de médecins nous rejoignent, venant de partout dans le monde. Nous sommes en croissance forte à l’étranger, et cela nous donne l’envie de continuer dans cette bataille."
Source : https://luogocomune.net/21-medicina-salute/5858-ciarlatani-in-parlamento, le 16 sept. 2021
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