Qu’ont en commun l’inventeur de la technologie de l’ARNm, l’auteur principal de l’article sur le Covid-19 le plus téléchargé dans l’American Journal of Medicine, un ancien rédacteur en chef de l’American Journal of Epidemiology, des épidémiologistes renommés de Harvard, Stanford et Oxford, et le plus grand microbiologiste français ? Ils ont tous été censurés par un réseau médiatique répressif dont la plupart des gens n’ont jamais entendu parler. Ce réseau a outrageusement conçu et véhiculé un "monopole de l’information légitime"[i].
Exposer au grand jour cette étrange censure des voix éminentes est particulièrement vital pour le sort des enfants et des jeunes, qui sont agressivement ciblés pour recevoir des inoculations à faible bénéfice et parfois mortelles.
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Depuis le début de la pandémie de COVID-19, qui, selon l’Organisation mondiale de la santé, ne tue que 0,23 % des personnes infectées[ii], une peur panique énormes a été alimentée par le tambourinage incessant de médias à "voix unique".
Un processus international de standardisation éditoriale a permis une couverture médiatique sans précédent du message monopolisé :
- La pandémie menace la survie de l’humanité entière.
- Il n’y a pas de thérapie pour guérir les malades
- Il est nécessaire de confiner l’ensemble de la population, et
- La délivrance ne viendra que d’un vaccin[iii].
Nombreux ont été les personnes consternées par la singularité de cette propagande, et par la manière dont elle a pu être réalisée. C’est l’objet de cette étude.
Introduction : Comment le TNI a démarré
Le 24 juin 2021, un rapport de l’Institut Reuters, basé à Oxford, a révélé que la confiance dans les médias américains – classés au dernier rang parmi 46 pays – était descendue à un niveau historiquement bas de 29%. Dans le même temps, la confiance des Canadiens dans les médias est tombée à 45 %[iv], (et celle des Français à moins de 30% selon le baromètre Lacroix-Kantar NdT)
Cette spirale descendante ne peut que signifier que les gens vont prendre ailleurs leurs nouvelles – une tendance qui a probablement été accélérée par l’émergence d’un obscur réseau mondial de censure appelé Trusted News Initiative (TNI).
En juillet 2019, avant la pandémie, les gouvernements britannique et canadien ont accueilli la conférence mondiale du FCO sur la liberté des médias[v], où Tony Hall, alors directeur général de la BBC, a annoncé :
"Le mois dernier, j’ai convoqué, à huis clos, un Trusted News Summit à la BBC, qui a rassemblé des plateformes technologiques et des éditeurs mondiaux. L’objectif était d’aboutir à une série d’actions pratiques que nous pouvons entreprendre ensemble, dès maintenant, pour lutter contre la montée de la désinformation et des préjugés…. Je suis déterminé à utiliser cette portée unique et cette voix de confiance [de la BBC] pour montrer la voie – afin de créer une alliance mondiale pour l’intégrité des informations. Nous sommes prêts à faire encore plus pour aider à promouvoir la liberté et la démocratie dans le monde entier"[vi].
Les premiers partenaires de Trusted News présents étaient l’Union européenne de radio-télévision (UER), Facebook, le Financial Times, First Draft, Google, The Hindu et le Wall Street Journal.
C’était le début embryonnaire d’un système d’alerte précoce à l’échelle des médias qui allait bientôt devenir mondial et qui alerterait rapidement les membres en cas de "désinformation qui menace la vie humaine ou perturbe la démocratie pendant les élections"[vii].
Mais d’où vient l’idée ?
La BBC avait auparavant répondu[viii] à un appel à contribution de la commission spéciale de la Chambre des Lords sur la démocratie et la technologie numérique, citant dans sa première note de bas de page un blog de la BBC du 3 juin 2019 intitulé " Tackling Misinformation "[ix].
Le premier sujet de ce blog faisait référence à un reportage de la BBC du 3 mars 2019, donc avant la pandémie, selon lequel les anti-vax gagnaient du terrain sur les médias sociaux dans le cadre d’un mouvement de " fake news " diffusant des " informations trompeuses et dangereuses"[x].
Le blog du 3 juin a également dénoncé une énorme (« éléphantesque ») gradation en ligne de pratiques commerciales trompeuses et de discours haineux, et les a qualifiés de problèmes nécessitant des "interventions algorithmiques". L’"écosystème de l’information" en ligne était "pollué" ; l’ampleur du problème était "sans précédent". La BBC et d’autres organisations envisageraient des interventions "pour lutter contre la désinformation dans le paysage médiatique".
Si l’on considère cette perception des problèmes pré-Covid, les motivations du réseau TNI semblent avoir été constructives et raisonnables. Cependant, on ne se doutait pas à l’époque de l’ampleur, de la répression et de la sombre persuasion que ces interventions allaient bientôt prendre.
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L’action a commencé. CBC/Radio-Canada a annoncé publiquement sa participation au TNI en septembre 2019, déclarant que "cela inclut un engagement à collaborer sur l’authentification des sources, l’information civique, l’éducation aux médias et d’autres réponses à la désinformation. "[xi] The Hindu a simultanément annoncé le programme indien.[xii]
Deux semaines après l’annonce par l’OMS de la pandémie de Covid-19 le 11 mars 2020, la chaîne canadienne CBC a rapporté que la Trusted News Initiative avait annoncé des plans "pour s’attaquer à la désinformation nuisible liée au coronavirus."
"À partir d’aujourd’hui, les partenaires de l’initiative Trusted News s’alerteront mutuellement de la désinformation sur le coronavirus, y compris du ‘contenu imposteur’ prétendant provenir de sources fiables. Ces contenus seront examinés rapidement pour s’assurer que la désinformation n’est pas republiée." [xiii]
La liste des partenaires médiatiques s’est élargie pour inclure Twitter, Microsoft, Associated Press, l’Agence France-Presse, Reuters et l’Agence européenne pour la sécurité maritime.
Le TNI a ensuite accepté de s’engager dans une nouvelle technologie de vérification appelée Project Origin, dirigée par une coalition de la BBC, de CBC/Radio-Canada, de Microsoft et du New York Times, dont le mandat est d’identifier les nouvelles non autorisées pour les supprimer.
En juillet 2020, Eric Horvitz, directeur scientifique de Microsoft, a déclaré à propos de l’autorisation des informations : "Nous avons noué une relation étroite avec la BBC et d’autres partenaires sur le projet Origin, qui vise à élaborer des méthodes et des normes pour l’authentification de bout en bout des informations"[xiv].
En décembre 2020, la BBC a signalé que la désinformation "se propageait en ligne auprès de millions de personnes" et qu’elle incluait la minimisation des risques liés au COVID-19 ainsi que la remise en cause des motivations des développeurs du vaccin[xv].
Dans un article de synthèse du 25 juin 2021 rédigé par le personnel d’investigation, TrialSiteNews a posé la question suivante : "Censure du COVID-19 : Une initiative d’information de confiance pour décider des faits ?" et commençait sa réponse par :
"Depuis des temps immémoriaux, ceux qui ont du pouvoir l’ont utilisé pour contrôler ceux qui n’en ont pas. Dans le monde moderne, les grands gouvernements et les grandes entreprises technologiques sont les sièges du pouvoir lorsqu’il s’agit de déterminer qui est autorisé à dire quoi. Bien sûr, beaucoup pensent que les "entreprises privées" peuvent réglementer la parole comme bon leur semble. Mais d’un point de vue éthique ou juridique, c’est faux. L’argument des avantages sociétaux de la liberté d’expression s’applique aussi bien à la publication de vidéos sur YouTube qu’à la distribution de prospectus au coin d’une rue.
Sur le plan juridique, la Cour suprême [des États-Unis] a longtemps considéré que lorsqu’une entreprise privée crée quelque chose qui fonctionne comme une place publique (pensez à une ville d’entreprise), le premier amendement entre en jeu. En avril 2020, il était déjà clair que la censure sociopolitique en ligne qui existait alors allait s’étendre au monde de la science, de la médecine et de l’université dans la nouvelle ère COVID-19"[xvi].
Qu’est-ce que la désinformation ?
Cette question a été traitée de manière superficielle par les médias grand public, qui confondent souvent la "désinformation" (information trompeuse non intentionnelle) avec ce qu’ils entendent par "désinformation", qui est délibérée.
Plusieurs définitions de dictionnaires s’accordent sur ce point :
- American Heritage : désinformation = "Information délibérément trompeuse annoncée publiquement ou divulguée par un gouvernement ou en particulier par une agence de renseignement afin d’influencer l’opinion publique ou le gouvernement d’une autre nation"[xvii].
- Merriam-Webster : désinformation = "Fausse information délibérément et souvent secrètement diffusée (comme par la propagation de rumeurs) afin d’influencer l’opinion publique ou de masquer la vérité."[xviii]
- L’OED (Oxford English Dictionary) : désinformation = "La diffusion d’informations délibérément fausses, en particulier lorsqu’elles sont fournies par un gouvernement ou son agent à une puissance étrangère ou aux médias, dans l’intention d’influencer les politiques ou les opinions de ceux qui les reçoivent"[xix].
Étant donné que ces définitions spécifient une action gouvernementale délibérée, il semble étrange que le TNI ait identifié un public en ligne dispersé comme la source de fausses informations et de propagande intentionnelles – en particulier concernant les élections et la politique de santé.
Quelles sont les sources de santé publique du TNI ? Sont-elles dignes de confiance ?
Le TNI rapporte la politique de santé Covid-19 des principales agences de santé publique du monde, notamment l’Organisation mondiale de la santé (OMS), les Centres américains de contrôle des maladies (CDC), la Food and Drug Administration (FDA) et les Instituts nationaux de la santé (NIH).
Cette politique est transmise par les gouvernements des nations et des États, qui la communiquent au public par l’intermédiaire de leurs médias et de leurs sites web, ainsi que par des rapports de cas locaux (basés sur le test PCR douteux) et des décès.
Malheureusement, cette direction descendante a été au mieux illogique et incohérente, et au pire corrompue par les énormes profits de l’industrie du vaccin.
Parmi les exemples de leadership incompétent ou corrompu en matière de santé publique, citons les extraordinaires contradictions du Dr Anthony Fauci, directeur du NIAID, concernant la protection offerte par les masques[xx].
Plus étonnant encore est le fait que le 21 juillet 2021, les CDC ont discrètement rappelé l’utilisation du test PCR soutenu par l’OMS, qui depuis février 2020 est la norme mondiale pour mesurer le nombre de cas de Covid-19. Ce rappel a finalement été signalé environ une semaine plus tard, mais il était apparu sur le site web des CDC[xxi] le premier jour après l’annonce de l’acquisition par George Soros et Bill Gates de la société britannique de tests Covid, Mologic[xxii].
Le test PCR avait déjà eu une histoire mouvementée : Sa recommandation avait été très soudainement approuvée par l’OMS après avoir été publiée à la hâte dans Eurosurveillance[xxiii], un jour après sa date de soumission du 22 janvier 2020. Incroyablement, elle n’a pas fait l’objet d’un examen par les pairs – une irrégularité qui a été formellement contestée par 22 scientifiques demandant sa rétractation[xxiv].
Pire encore, ce test PCR mondial, qui amplifie des fragments de virus vivants ou morts trouvés dans des écouvillons nasaux, présente de nombreux faux positifs (qui sont officiellement considérés comme des "cas", indépendamment des symptômes). Une étude menée l’an dernier par l’Infectious Diseases Society of America a révélé qu’à 25 cycles d’amplification, "jusqu’à 70 % des patients restent positifs lors des tests de culture". Bien, mais à 30 cycles, la vérification des cultures tombe à 20 %, et à 35 cycles, moins de 3 % des cultures restent positives[xxv].
De manière trompeuse, la plupart des laboratoires européens et américains ont basé leurs chiffres effrayants de "cas" – publiés 24/7 par le TNI – sur 35 cycles ou plus.[xxvi]
L’échec le plus choquant – sinon criminel – de la part des dirigeants (orientant les politiques dans l’affaire du Covid) est que l’OMS, les NIH, les CDC et la FDA ont constamment nié l’existence de traitements précoces efficaces à 85 %, bon marché, sûrs et abondants pour le Covid-19.
La seule option qu’ils ont recommandée jusqu’en novembre 2020 – un mois avant l’arrivée des vaccins – était de tomber malade à la maison jusqu’à ce que vous ne puissiez plus respirer, puis d’aller à l’hôpital. (En novembre, la FDA et les NIH ont autorisé les produits d’anticorps monoclonaux anti-SARS-2 pour une maladie légère en ambulatoire chez les patients à haut risque – mais rien d’autre[xxvii]).
Il ne devait y avoir aucun traitement sanctionné par le gouvernement jusqu’à l’arrivée d’un vaccin.
Le TNI – qui n’aime pas le journalisme d’investigation – a obéi et a suivi le mouvement. Malgré les nombreuses preuves de l’efficacité des traitements précoces,[xxviii] et bien que 56 pays les aient adopté [xxix] il n’y a eu aucune déclaration médiatique approuvée par le TNI indiquant que les traitements précoces, y compris l’hydroxychloroquine (HCQ), l’ivermectine (IVM), la quercétine, le zinc, le budésonide ou les vitamines C et D, soient efficaces pour traiter les patients ambulatoires atteints de Covid-19 pendant les 5 à 7 premiers jours des symptômes grippaux.
Le déni a été si fort qu’au début de l’année 2020, de nombreux conseils de pharmacie des États américains – dans un manque de respect sans précédent pour l’autorité des médecins – ont interdit aux pharmacies d’honorer des ordonnances de HCQ pour traiter les patients ambulatoires du Covid-19.[xxx]
En août 2020, il est apparu que les autorisations d’utilisation d’urgence (AUE) préalables à l’homologation des vaccins à ARNm ne pouvaient être légalement approuvées s’il existait une alternative disponible – c’est-à-dire si la FDA avait déjà délivré une AUE pour l’utilisation ambulatoire du HCQ, comme le montre le dernier élément de cette diapositive interne de la FDA[xxxi].
Mis à part les premiers articles d’opinion de l’éminent épidémiologiste de Yale, le Dr Harvey Risch,[xxxii] où était le journalisme d’investigation ?
Qui et quoi a été le plus censuré par le système d’alerte précoce de TNI ?
Pour justifier les actes de censure individuels, les géants des médias sociaux se réfèrent aux politiques de l’OMS, des CDC, de la FDA et des NIH. Les discussions portant sur la source du virus, les traitements précoces et les effets indésirables des vaccins – si elles proviennent de l’extérieur de ces organismes – sont rapidement supprimées par le réseau coordonné de TNI.
Nous allons examiner sept de ces suppressions, dans l’ordre de leur apparition :
Suppression n° 1 : la source du SRAS-2
La Trusted News Initiative s’est très vite mise au travail pour faire taire la "désinformation" concernant un lien entre le SRAS-2 et les laboratoires de biosécurité de niveaux 2 et 3 de Wuhan, qui sont inadéquats. Cependant, depuis l’enquête approfondie de l’ancien écrivain du NYT, Nicholas Wade, en mai 2021,[xxxiii] et les emails du Dr Fauci[xxxiv] (révélés grâce en juin dernier grâce à la loi FOIA américaine), les partenaires de la TNI, y compris Facebook et Twitter, ont renoncé à censurer la liberté d’expression concernant une fuite du laboratoire de Wuhan.
Suppression #2 : Déni des premiers traitements pour le Covid
Comme nous l’avons vu, la littérature médicale regorge d’études publiées après évaluation par des pairs, montrant à la fois l’efficacité prophylactique et de traitement précoce d’une gamme de médicaments et de substances sûrs, peu coûteux et facilement disponibles.
Au cours de la période mars-décembre 2020, le gouvernement et les médias ont prétendu que ces médicaments étaient inefficaces afin d’ouvrir la voie aux autorisations d’utilisation d’urgence de la FDA pour le remdesivir (dont l’efficacité est maintenant remise en question[xxxv]) et les vaccins à ARNm.
De façon scandaleuse, des centaines de milliers de personnes sont mortes en attendant l’arrivée des vaccins en décembre 2020. Pourquoi sont-elles mortes ? Parce que leurs médecins n’ont pas pu leur prescrire les médicaments réhabilités HCQ et IVM qui figurent depuis longtemps sur la liste des médicaments essentiels de l’OMS.
Le TNI, en censurant la vérité dont le public avait si désespérément besoin, a été le principal artisan de cette politique catastrophique favorable aux vaccins.
Au cours du mois de juillet 2021, au lieu de reconnaître les preuves de traitement précoce qu’ils avaient hébergées[xxxvi] depuis le début (étant ainsi directement complices de ces décès), le complexe gouvernemental-médiatique a redoublé d’ardeur dans sa campagne pour vacciner chacun d’entre nous.
Le 3 août 2021, soit 16 mois et 612 386 décès trop tard, de manière incroyable, Anthony Fauci, dans un extrait fourni par Reuters, partenaire de TNI, "lance [une] pilule pour ‘assommer’ le COVID de manière précoce", à prendre une fois par jour pendant sept à dix jours[xxxvii].
Suppression n° 3 : les voix des professionnels de la santé dissidents
Alors que les principaux décideurs en matière de santé, tels que l’OMS, le CDC, la FDA et Anthony Fauci, sont passés d’un décret de mort sociale sans précédent à un autre, de nombreux professionnels éminents de la santé publique, au sommet de leur domaine, se sont avancés pour proposer des mesures saines et traditionnelles de contrôle de la contagion.
Ils n’ont cependant pas été bien accueillis par les médias ou les médias sociaux. La directrice du TNI, Jessica Cecil, a expliqué pourquoi, lors de la conférence de presse "Trust In", en avril 2021 :
"Premièrement, ceux qui poussent à la désinformation […] utilisent des sources apparemment dignes de confiance. Les contenus anti-vax utilisent souvent des interviews de personnes ayant des diplômes de médecine, par exemple.
Et il y a souvent une part de vérité dans ce qui est affirmé. Cela rend plus difficile de démêler le vrai du faux…"[xxxviii]
En "démêlant le vrai du faux", le personnel des médias sans aucune formation s’est permis de censure les professeurs et chercheurs éminents dont la liste suit, tous ayant des historiques de publication exceptionnels[xxxix] et des références sans conflit d’intérêts. Chacun est lié à son dossier de publication Google Scholar :
- Dr Jay Bhattacharya, épidémiologiste, Université de Stanford.
- Dr Sunetra Gupta, épidémiologiste spécialiste des maladies infectieuses, Université d’Oxford.
- Dr. Martin Kulldorff, épidémiologiste, Harvar
- Dr Robert W. Malone, inventeur de la plateforme technologique mRNA
- Dr Peter A. McCullough, ancien vice-président Int. Med., Baylor Univ.
- Dr Didier Raoult, microbiologiste et directeur de l’IHU Méditerranée Infection ; professeur à Aix Marseille Université
- Dr. Harvey A. Risch, professeur d’épidémiologie, Yale School of Public Health
- Dr. Knut M. Wittkowski, biométricien, responsable depuis 20 ans, biostatistique/épid., Université Rockefeller
- Dr Michael Yeadon, ancien vice-président de la recherche respiratoire, Pfizer.
Le TNI a également vigoureusement censuré les médecins de première ligne qui ont sauvé des milliers de vies grâce aux traitements précoces du Covid-19 : Le Dr Zev Zelenko à New York[xl], les Drs George Fareed et Brian Tyson en Californie[xli], America’s Frontline Doctors[xlii], fondée par le Dr Simone Gold, et la Frontline COVID-19 Critical Care Alliance (FCCCA)[xliii], dirigée par le Dr Pierre Kory, médecin en soins intensifs et en soins critiques.
L’absurdité du vaccin COVID
Membre de la FCCCA, le Dr Joseph Varon, chef du personnel du United Memorial Medical Center de Houston, a accordé plus de 1 600 interviews aux médias, mais il a déclaré à Ivory Hecker, journaliste de la chaîne Fox locale, que les journalistes ne parleront jamais de son protocole de traitement hospitalier MATH+, qui connaît un grand succès, "parce que les producteurs d’informations ne le permettent pas"[xliv].
Pourquoi pas ? Parce que son protocole hospitalier utilisant des médicaments bon marché, sûrs et abondants comme la méthylprednisolone, la fluvoxamine, la thiamine, l’héparine et l’ivermectine, associés au zinc, à l’acide ascorbique et à la vitamine D[xlv], a permis de réduire de moitié le taux de mortalité des patients hospitalisés rapporté par le CDC[xlvi].
Et cela n’est pas autorisé par ceux qui dirigent les médias – ceux dont la mission inférable est une politique vaccinale basée sur des millions de tests PCR douteux, suivie d’un passeport vaccinal qui, selon toute apparence, en est la finalité.
Suppression #4 : Le nombre record d’effets secondaires graves et de décès post-vaccinaux
Un nombre record d’effets secondaires et de décès post-vaccinaux a été signalé en ligne par le VAERS (Vaccine Adverse Effects Reporting System) des CDC américains, par le Yellow Card System britannique, par le Vaccine Injury Reporting System de l’UE et par Israël.
Aux États-Unis, le VAERS a signalé 491 218 effets indésirables et 11 405 décès du 10 février au 24 juillet 2021[xlvii].
Cependant, il n’est pas simple de relier ces décès directement aux vaccins.
En Angleterre, le Dr Tess Lawrie de l’Evidence-based Medicine Consultancy (EbMC), a déclaré en juin 2021 qu’il y avait " au moins 3 questions urgentes auxquelles l’équivalent anglais du CDC, la MHRA, doit répondre " :
Combien de personnes sont mortes dans les 28 jours suivant la vaccination ?
Combien de personnes ont été hospitalisées dans les 28 jours suivant la vaccination ?
Combien de personnes ont été handicapées par la vaccination ?[xlviii].
Toujours en juin, le Dr Lawrie a écrit une lettre de 11 pages très référencée au directeur général de la MHRA montrant que "la MHRA a maintenant plus que suffisamment de preuves sur le système de Yellow card pour déclarer le vaccin COVID-19 dangereux pour l’utilisation chez les humains"[xlix].
Suppression n°5 : l’immunité naturelle est plus forte que l’immunité vaccinale
En termes très simples, les vaccins à ARNm ne génèrent des anticorps que contre la seule protéine synthétique en forme de pointe qu’ils demandent à l’organisme de fabriquer, puis de s’immuniser contre elle. Mais si la protéine spike originale du SRAS-2 mute, le virus modifié est moins facilement reconnu par le système immunitaire et échappe souvent à ses anticorps.
Pendant ce temps, l’immunité naturelle, qui a combattu le virus entier et s’en souvient grâce à l’immunité des anticorps et des cellules T, est beaucoup plus robuste et efficace – malgré les mutations mineures de la protéine spike[l].
Compte tenu de ce fait, les gouvernements et les médias du monde entier auraient dû autoriser la preuve de l’immunité par des tests tels que T-Detect, qui est autorisé "pour détecter et identifier la présence d’une réponse immunitaire adaptative des cellules T au SRAS-CoV-2 "[li] – plutôt que d’être vacciné, pour ceux qui le préféraient.
Au lieu de cela, le TNI, en pleine confusion et superficiellement informé, n’a fait que promouvoir les vaccins expérimentaux très rentables mais de plus en plus voués à l’échec, qui aujourd’hui, bien qu’ils réduisent le risque chez les personnes à haut risque, n’ont "presque aucune valeur en tant que moyen de protéger les autres, de sorte qu’il n’y a aucun avantage à vacciner les enfants, à introduire des passeports vaccinaux au niveau national ou international, ou à contraindre les jeunes à recevoir un vaccin qui, pour eux, ne présente presque que des risques et aucun avantage"[lii].
Suppression n°6 : Preuve inquiétante de l’existence d’un Priming/ADE pathogène
Au cours des premiers essais cliniques de l’ARNm, des chats, des furets, des singes et des lapins ont subi un renforcement dépendant des anticorps (ADE), également appelé amorçage pathogène ou tempête de cytokines. Cela se produit lorsque le système immunitaire crée une réponse inflammatoire écrasante et incontrôlée après avoir été confronté au virus dans le monde réel, puis meurt.
Le directeur de l’Institut de pathologie de l’université de Heidelberg, Peter Schirmacher, a pratiqué plus de 40 autopsies sur des personnes décédées dans les deux semaines suivant la vaccination. Schirmacher s’est alarmé en citant, le 3 août 2021, "des effets secondaires rares et graves de la vaccination – comme une thrombose veineuse cérébrale ou des maladies auto-immunes"[liii].
Le 5 août 2021, le Dr israélien Kobi Haviv, à l’hôpital Herzog de Jérusalem, a signalé que "95% des patients graves sont vaccinés… 85-90% des hospitalisations concernent des personnes entièrement vaccinées… Nous ouvrons de plus en plus de salles COVID… L’efficacité du vaccin s’amenuise/se dissipe"[liv].
Le Dr Robert Malone, inventeur de la technologie de l’ARNm, a expliqué que la susceptibilité aux EIM est plus grande précisément pendant la longue phase où le vaccin s’estompe : "Le vaccin, dans sa phase de déclin, amène le virus à se répliquer plus efficacement qu’il ne le ferait autrement, ce que l’on appelle le renforcement dépendant des anticorps", ajoutant que tous les programmes précédents de développement de vaccins contre le coronavirus ont conduit à l’ADE[lv].
Il est essentiel que le consentement éclairé pour les vaccins Covid-19 comprenne la notification de la possibilité d’ADE, en particulier en ce qui concerne les parents, dont les enfants doivent être protégés à tout prix :
"Le risque spécifique et significatif d’EIM du COVID-19 aurait dû être et devrait être divulgué de manière bien visible et indépendante aux sujets de recherche actuellement dans les essais de vaccins, ainsi qu’à ceux qui sont recrutés pour les essais et aux futurs patients après l’approbation du vaccin, afin de répondre à la norme d’éthique médicale de la compréhension du patient pour le consentement éclairé."[lvi]
Combien de personnes recevant des vaccins à ARNm se sont vu dire cela ? Il est certain que leur Trusted News Initiative ne le leur a pas dit.
Suppression #7 : Le rôle central des comorbidités dans la maladie grave de Covid
Seulement 4% des décès dus à la maladie de Covid en Angleterre sont morts sans conditions préexistantes.[lvii] Aux États-Unis, 94,9% avaient des conditions préexistantes.[lviii]
Combien de fois les médias soutenus par l’industrie pharmaceutique ont-ils laissé entendre que 78% des hospitalisations de Covid aux Etats-Unis étaient dues à un surpoids ou à une obésité ? Ou suggéré que "les amis, vous pourriez sauver votre vie en faisant un régime" ?[lix].
Combien de fois nous a-t-on prévenus que 59% des hospitalisés étaient déficients en vitamine D ?[lx][lxi]
Le complexe gouvernement-médias a-t-il déjà imposé des normes d’apport en vitamine D pour soulager les unités de soins intensifs ?
Tony Fauci a-t-il déjà dit aux gens de prendre suffisamment de vitamine D alors que, selon les courriels qu’il a reçus en vertu de la loi sur la liberté d’information, il prend lui-même 6 000 UI par jour ?
Ou bien le TNI aurait-il créé une peur suffisante pour pousser les gens à se tourner vers des vaccins expérimentaux non garantis pour nous le faire savoir ?
Conclusion : Les médias et la démocratie
L’un des principaux motifs de la formation du TNI pourrait avoir été d’éradiquer la soi-disant "désinformation" qu’un public insulté et indigné préfère aux médias dirigés par les entreprises, alias "la presse", qui manquent de créativité.
Ce n’est pas comme si les médias avaient l’habitude d’avoir raison sur les pandémies. Par exemple, ils ont fait confiance au modélisateur des pires scénarios Neil Ferguson et à l’Organisation mondiale de la santé, contrôlée par l’industrie pharmaceutique, pour la "pandémie" de grippe porcine de 2009, qui a fait long feu, laissant les gouvernements incinérer des millions de dollars de vaccins[lxiii].
Ces réalisations de l’industrie font appel à des "influenceurs" – des "experts" faussement indépendants, notamment des journalistes spécialisés, des animateurs de groupes de réflexion et des universitaires dont les recherches sont financées par l’industrie ou le gouvernement.
En ce qui concerne le Covid-19, le Dr Piers Robinson, co-directeur de l’Organisation for Propaganda Studies, a jugé que "ce ne serait pas sous-estimer la situation que de dire qu’il s’agit probablement de l’une des plus grandes opérations de propagande que nous ayons vues dans l’histoire", concluant que "ce qui se passe dépend de la façon dont les gens résistent et de la force et de la coercition que les autorités utilisent"[lxiv].
En effet, le fondement même de la démocratie est que la sagesse du peuple doit être consultée et qu’on lui donne la parole dans le cadre de l’autonomie. Le peuple a le droit constitutionnel à une information complète pour former et exprimer ses propres conclusions et n’a pas besoin d’une TNI coordonnée pour l’encercler et le contenir.
Il est tout à fait scandaleux que les voix dont le peuple a besoin de la part des plus grandes figures de la santé publique dans ses meilleures universités soient refusées à son audition.
Les chercheurs des médias alternatifs, qui travaillent dur, font un travail d’investigation bien supérieur, sans les fonds publicitaires tachés de sang de Big Pharma.
C’est peut-être l’équipe de TrialSiteNews qui l’a le mieux dit :
"Nous pensons que le fait d’interdire les informations médicales de bonne foi parce que le public ne peut pas être présumé capable d’évaluer correctement les allégations infantilise ce public, tout en démantelant la culture de la liberté d’expression qui a peut-être atteint son apogée au XXe siècle. Les efforts actuellement déployés pour supprimer complètement les données positives associées aux perspectives de traitement précoce comme l’ivermectine ou l’étouffement de toute discussion sur les questions de sécurité des vaccins sont totalement inacceptables dans une société civilisée, démocratique et basée sur le marché. Ceux qui perpétuent de telles offenses sont en fait du mauvais côté de l’histoire"[lxv].
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Auteur : Elizabeth Woodworth
Traduction : ilFattoQuotidiano.fr
Notes :
[1] Pierre Bourdieu, Sur la télévision, Paris, Seuil, 1996, 82.
[2] Ioannidis J. “The infection fatality rate of COVID-19 inferred from seroprevalence data,” Bull World Health Organ., Epub Oct. 14, 2020 (https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33716331/).
The British Medical Journal, citing this article, reported: “Clearly, mortality is age-stratified from covid-19. The corrected median estimates of IFP [Infection Fatality Rate] for people aged lower than 70 years is currently 0.05%, [2] which, for the population less vulnerable to deaths, is similar to influenza. However overall estimates for covid-19 are higher [i.e., 0.23%], due to the higher fatality rate in elderly people.” BMJ October 6, 2020 (https://www.bmj.com/content/371/bmj.m3883/rr).
[3] Laurent Mucchielli, “How is built the ‘legitimate information’ on the Covid crisis,” UMR 7305, CNRS and Aix-Marseille University, April 2020 (https://www.mediterranee-infection.com/wp-content/uploads/2020/04/MS-Mucchielli.pdf). Translation from French.
[4] Rick Edmonds, June 24, 2021, by Rick Edmonds, “US ranks last among 46 countries in trust in media, Reuters Institute report finds,” June 24, 2021 (https://www.poynter.org/ethics-trust/2021/us-ranks-last-among-46-countries-in-trust-in-media-reuters-institute-report-finds/).
[5] Global Conference for Media Freedom: London 2019 (https://www.gov.uk/government/topical-events/global-conference-for-media-freedom-london-2019). The Conference website states that “It is supported by Luminate,” (https://luminategroup.com/) which in turn was founded by the Omidyar Group (omidyargroup.com ).
[6] Tony Hall, “Media Freedom: What is it and why does it matter?” BBC, 11 July 2019 (https://www.bbc.co.uk/mediacentre/speeches/2019/tony-hall-fco).
[7] Leila About, “News groups and tech companies team up to fight disinformation; BBC-led project aims to build an ‘early warning system,’” Financial Times, September 6, 2019 (https://www.ft.com/content/6857149a-d0b2-11e9-99a4-b5ded7a7fe3f).
[8] BBC – written evidence (DAD0062), undated (https://committees.parliament.uk/writtenevidence/429/html).
[9] Ahmed Razek, “Tackling Misinformation,” June 3, 2019 (https://medium.com/bbc-design-engineering/tackling-misinformation-30d39f6d02e9).
[10] “Vaccination deniers gaining traction, NHS boss warns,” BBC News, 1 March 2019 (https://www.bbc.com/news/health-47417966).
[11] “CBC/Radio-Canada joins global charter to fight disinformation,” 9 September 2019 (https://cbc.radio-canada.ca/en/media-centre/trusted-news-charter-fight-disinformation).
[12] “News majors to fight disinformation,” 07 Septmber 2019 (https://www.thehindu.com/news/national/news-majors-to-fight-disinformation/article29356124.ece).
[13] “Trusted News Initiative announces plans to tackle harmful coronavirus disinformation,” 27 March 2020 (https://cbc.radio-canada.ca/en/media-centre/trusted-news-initiative-plan-disinformation-coronavirus).
[14] EBU: Operating Eurovision and Euroradio, “Trusted News Initiative steps up global fight against disinformation and targets US presidential election,” 13 July 2020 (https://www.ebu.ch/news/2020/07/trusted-news-initiative-steps-up-global-fight-against-disinformation-and-targets-us-presidential-election).
[15] BBC, “Trusted News Initiative (TNI) to combat spread of harmful vaccine disinformation and announces major research project,” 10 December 2020 (https://www.bbc.com/mediacentre/2020/trusted-news-initiative-vaccine-disinformation).
[16] TrialSiteNews Staff, “COVID-19 Censorship:
Trusted News Initiative to Decide the Facts?” 25 June 2021 (https://trialsitenews.com/covid-19-censorship-trusted-news-initiative-to-decide-the-facts/).
[17] (https://ahdictionary.com/word/search.html?q=disinformation)
[18] (https://www.merriam-webster.com/dictionary/disinformation)
[19](https://www.europarl.europa.eu/RegData/etudes/ATAG/2015/571332/EPRS_ATA(2015)571332_EN.pdf)
[20] A video compilation from Justin Hart, @justin_hart, San Diego, embedded in his tweet, 26 July 2021 (https://twitter.com/justin_hart/status/1419833290421272580?s=12).
[21] CDC. Division of Laboratory Systems. “07/21/2021: Lab Alert: Changes to CDC RT-PCR for SARS-CoV-2 Testing. Audience: Individuals Performing COVID-19 Testing” (https://www.cdc.gov/csels/dls/locs/2021/07-21-2021-lab-alert-Changes_CDC_RT-PCR_SARS-CoV-2_Testing_1.html).
[22] Alex Ralph, “Bill Gates and George Soros buy out UK Covid test company Mologic,” The Times, 20 July 2021 (https://www.thetimes.co.uk/article/bill-gates-and-george-soros-buy-out-uk-covid-test-company-mologic-70c3r736b).
[23] Victor M. Corman, et al., “Detection of 2019 novel coronavirus (2019-nCoV) by real-time RT-PCR,” Eurosurveillance, Vol. 25, Issue 3, 23 January 2020 (https://www.eurosurveillance.org/content/10.2807/1560-7917.ES.2020.25.3.2000045).
[24] CORMAN-DROSTEN REVIEW REPORT. CURATED BY AN INTERNATIONAL CONSORTIUM OF SCIENTISTS IN LIFE SCIENCES (ICSLS). “Retraction request letter to Eurosurveillance editorial board,” 8 November 2020 (https://cormandrostenreview.com/retraction-request-letter-to-eurosurveillance-editorial-board/)
[25] Rita Jaafar et al, “Correlation Between 3790 Quantitative Polymerase Chain Reaction–Positives Samples and Positive Cell Cultures, Including 1941 Severe Acute Respiratory Syndrome Coronavirus 2 Isolates,” Clinical Infectious Diseases, Vol. 72, Issue 11, 1 June 2021, page e921 (https://academic.oup.com/cid/article/72/11/e921/5912603). 28 September 2020 at https://doi.org/10.1093/cid/ciaa1491
[26] Swiss Policy Research, “The Trouble With PCR Tests,” updated June 2021 (https://swprs.org/the-trouble-with-pcr-tests). The authors note: “From a lab perspective, it is safer to produce a ‘false positive’ result that puts a healthy non-infectious person into quarantine, than to produce a ‘false negative’ result and be responsible if someone infects their grandmother.”
[27] NIH. “Therapeutic Management of Nonhospitalized Adults with COVID-19, last updated July 8, 2021” (https://www.covid19treatmentguidelines.nih.gov/management/clinical-management/nonhospitalized-adults–therapeutic-management/).
[14] Peter A. McCullough, et al., “Pathophysiological Basis and Rationale for Early Outpatient Treatment of SARS-CoV-2 (COVID-19) Infection,” Am J Med. 2021 Jan; 134(1): 16–22 (https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7410805/).; Published online 2020 Aug 7. doi: 10.1016/j.amjmed.2020.07.003. See also the very extensive website, c19study.com; see https://swprs.org/on-the-treatment-of-covid-19; and see PubMed for further outpatient Covid early treatment, (https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/?term=%28%22early+outpatient+treatment%3A%29+AND+%28covid-19+OR+sars-2%29&sort=).
[29] “Global adoption of Covid-19 early treatments” (as of July 30, 2021), (https://c19adoption.com/).
[30] “State Rules and Recommendations Regarding Chloroquine, Hydroxychloroquine and Other Drugs Related to COVID-19,” posted March, 2020 (https://www.nashp.org/wp-content/uploads/2020/03/State-covid-drug-chart-3-27-2020.pdf).
[31] FDA. “Considerations for FDA Licensure vs. Emergency Use Authorization of COVID-19 Vaccines,” July 29, 2020; see 10:20 min. (https://youtu.be/UkXQ09T6f94).
[32] Harvey A. Risch, “The Key to Defeating Covid-19 Already Exists. We Need to Start Using It,” Newsweek, 23 July 2020 (https://www.newsweek.com/key-defeating-covid-19-already-exists-we-need-start-using-it-opinion-1519535); “FDA obstruction: Patients die, while Trump gets the blame,” Washington Examiner, 19 October 2020 (https://www.washingtonexaminer.com/author/harvey-risch).
[33] Nicholas Wade, “Origin of Covid – Following the Clues: Did people or nature open Pandora’s box at Wuhan?” May 2, 2021 (https:/nicholaswade.medium.com/origin-of-covid-following-the-clues-6f03564c038).
[34] See Dr. Chris Martenson’s Fauci takedown videos, episodes 7, 8, and 9 (https://www.youtube.com/user/ChrisMartensondotcom).
[35] Owen Dyer, “Covid-19: Remdesivir has little or no impact on survival, WHO trial shows,” BMJ2020; 371 doi: https://doi.org/10.1136/bmj.m4057 (Published 19 October 2020) (https://www.bmj.com/content/371/bmj.m4057).
[36] For example, it was reported in 2005 that “Chloroquine is a potent inhibitor of SARS coronavirus infection and spread,” Martin J. Vincent et al, Virology Journal, vol. 2, no. 69, 2005 (https://virologyj.biomedcentral.com/articles/10.1186/1743-422X-2-69). Virology Journal is well known to the NIH, and is available on its website: https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/journals/273/
[37] Interview with J. Stephen Morrison, Senior Vice President, Center for Strategic & International Studies, Reuters excerpt, 3 August 2021 (https://www.reuters.com/video/watch/idOVEOQEL7J).
[38] Trust In News Conference. BBC, April 8, 2021 (https://www.bbc.co.uk/mediacentre/articles/2021/trust-in-news-conference).
[39] A scientist’s credibility can be estimated by how often his/her published articles are cited in the indexed, peer-reviewed literature. This is quantified as the h-index number, and can be found by searching an author’s name on Google Scholar, e.g., Harvard Medical School biostatistician and epidemiologist, Dr. Martin Kulldorff, has been cited 26,087 times and has an h-index of 77. (https://scholar.google.com/citations?user=WNEj34MAAAAJ&hl=en).
[40] Board Certified Family Physician Vladimir Zev Zelenko, M.D. (https://vladimirzelenkomd.com/about/).
[41] Brian Tyson and George Fareed, “Doctors story of Light and Life: the Covid-19 Darkness Overcome,” The Desert Review, 2 August 2021 (https://www.thedesertreview.com/news/local/doctors-story-of-light-and-life-the-covid-19-darkness-overcome/article_97b53ca6-f3b7-11eb-8773-c7ecbb9070e7.html).
[42] (https://americasfrontlinedoctors.org/).
[43] (https://covid19criticalcare.com/).
[44] “Ivory Hecker Exposes Fox News Managers Censoring Her for Reporting on Hydryoxychloroquine,” 16 July 2021; see 1-2 min. (https://www.bitchute.com/video/8y5VHbdFfkji/).
[45] (htpps://covid19criticalcare.com/covid-19-protocols/math-plus-protocol/).
[46] Holmquist, Annie, “The Media May Be Responsible for Countless COVID Deaths,” Chronicle: A Magazine of American Culture, 29 June 2021 (https://www.chroniclesmagazine.org/blog/the-media-may-be-responsible-for-countless-covid-deaths/). Dr. Varon’s bio and awards are shown on Dr. Been, July 2021( https://www.youtube.com/watch?v=YGKD8c51UmU).
[47] United States. CDC. VAERS (https://wonder.cdc.gov/vaers.html), via Karen Selick, 25 July 2021 (https://www.bitchute.com/video/3bmfKOGpkuGD/).
[48] Kathy Gyngell, “Expert’s damning vaccine evidence,” The Conservative Woman, 14 June 2021 (https://www.conservativewoman.co.uk/doctors-damning-evidence/),
[49] Lien Davies, “Open Letter from Dr Tess Lawrie to Chief Exec MHRA Dr Raine – URGENT Report – COVID-19 vaccines unsafe for use in humans,” 10 June 2021 (https://freedomalliance.co.uk/2021/06/10/open-letter-from-dr-tess-lawrie-to-chief-exec-mhra-dr-raine-urgent-report-covid-19-vaccines-unsafe-for-use-in-humans/).
[50] Sharyl Attkisson, “Covid-19 natural immunity compared to vaccine-induced immunity: The definitive summary,” 6 August 2021 (https://sharylattkisson.com/2021/08/covid-19-natural-immunity-compared-to-vaccine-induced-immunity-the-definitive-summary/).
[51] (https://www.t-detect.com/).
[52] Will Jones, “Devastating New Data From PHE Shows Vaccine Effectiveness Down to 17% and No Reduction in Infectiousness – But Mortality Cut by 77%,” The Daily Sceptic, 6 August 2021 (https://dailysceptic.org/2021/08/06/devastating-new-data-from-phe-shows-vaccine-effectiveness-down-to-17-and-no-reduction-in-infectiousness-but-mortality-cut-by-77/).
[53] Free West Media, “German chief pathologist sounds alarm on fatal vaccine injuries,” 3 August 2021 (https://freewestmedia.com/2021/08/03/german-chief-pathologist-sounds-alarm-on-fatal-vaccine-injuries/).
[54] “Israel: “85-90% of the hospitalizations are in fully vaccinated people,” 5 August 2021 (https://www.coronaheadsup.com/coronavirus/israel-85-90-of-the-hospitalizations-are-in-fully-vaccinated-people/).
[55] Robert Malone, “The Vaccine Causes The Virus To Be More Dangerous,” 29 July 2021 (https://www.eastonspectator.com/2021/07/29/the-vaccine-causes-the-virus-to-be-more-dangerous/).
[56] Timothy Cardozo and Ronald Veazey, “Informed consent disclosure to vaccine trial subjects of risk of COVID-19 vaccines worsening clinical disease,” Int J Clin Pract. 2021 Mar;75(3):e13795. doi: 10.1111/ijcp.13795. Epub 2020 Dec 4. (https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33113270/).
[57] Table: “COVID-19 deaths by age group and pre-existing conditions”, 4 February 2021 (England.covid19dailydeaths@nhs.net).
[58] United States. CDC. “Underlying Medical Conditions and Severe Illness Among 540,667 Adults Hospitalized With COVID-19, March 2020–March 2021,” 1 July 2021 (https://www.cdc.gov/pcd/issues/2021/21_0123.htm).
[59] Berkeley Lovelace Jr., “CDC: 78% of people hospitalized for Covid were overweight or obese,” The Journal of Nursing, 1 March 2021 (https://www.asrn.org/journal-nursing/2517-cdc-78-of-people-hospitalized-for-covid-were-overweight-or-obese.html).
[60] Dieter De Smet, et al., “Serum 25(OH)D Level on Hospital Admission Associated With COVID-19 Stage and Mortality,” Am J Clin Pathol., 2021 Feb 11;155(3):381-388. doi: 10.1093/ajcp/aqaa252 (https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33236114/).
[61] Mustafa Demir, et al., “Vitamin D deficiency is associated with COVID-19 positivity and severity of the disease,” J Med Virol. 2021 May;93(5):2992-2999. doi: 10.1002/jmv.26832. Epub 2021 Feb 9 (https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33512007/).
Vitamin D deficiency is associated with COVID-19 positivity and severity of the disease
Mustafa Demir 1 , Fadime Demir 2 , Hatice Aygun 3
[62](https://vitamindwiki.com/Dr.+Fauci+takes+6%2C000+IU+of+Vitamin+D+daily+%E2%80%93+Sept+2020).
[63] CBS News, “$260M of Swine Flu Vaccine to be Incinerated,” 1 July 2010 (https://www.cbsnews.com/news/260m-of-swine-flu-vaccine-to-be-incinerated/).
[64] Piers Robinson, “Covid is a Global Propaganda Operation,” Asia Pacific Today, 4 August 2021 (https://rumble.com/vkppo0-covid-is-a-global-propaganda-operation.html).
[65] TrialSiteNews Staff, “COVID-19 Censorship: Trusted News Initiative to Decide the Facts?” 25 June 2021 (https://trialsitenews.com/covid-19-censorship-trusted-news-initiative-to-decide-the-facts/).
Source : https://www.globalresearch.ca/covid-19-shadowy-trusted-news-initiative/5752930
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